Les produits qu’on peut recycler

• Les plastiques aluminisés : Autrefois jugés non recyclables, et grâce aux changements de consignes de tri, les plastiques aluminisés peuvent désormais faire partie du voyage. De ce fait, les paquets de café, les sacs de chips et le papier aluminium peuvent désormais être jetés dans les poubelles de recyclage.
• Les barquettes alimentaires : De réels efforts sont constatés quant au recyclage des produits en plastique. A cet effet, les industries de fabrication d’emballages travaillent en étroite collaboration avec celles qui s’occupent du recyclage. De ce travail collaboratif est née l’extension des consignes pour le tri du polystyrène permettant de jeter les barquettes alimentaires avec les autres produits.

Les produits à détruire

• • Le verre cassé : A part le fait d’être dangereux, car ils peuvent blesser les agents responsables du tri, les verres ne sont pas recyclables. En effet leur composition chimique ne leur permet aucun genre de recyclage. D’ailleurs il faut préciser que c’est valable aussi pour les ampoules cassées ou les miroirs.
  • Les produits hygiéniques : Depuis l’apparition du concept du tri sélectif et des poubelles de recyclage, ces produits ont toujours été bannis des poubelles de recyclage. C’est toujours le cas actuellement, ils n’ont pas leur place dans l’univers du recyclage. Cela devrait aller de soi et pourtant il est constaté que certaines personnes les mettent tout de même dans les poubelles. Que ce soit les cotons tiges, les serviettes hygiéniques ou encore les couches sales, franchement, avons-nous vraiment envie de les réutiliser quelque part ?

Comprendre la compensation écologique

La compensation écologique est un système basé sur le contre balancement de la nuisance causé à l’environnement. A cet effet, si une entreprise doit réaliser un projet qui inévitablement causera des dégâts à l’environnement, ce dernier doit par la suite effectuer des travaux de restructuration pour préserver l’environnement local. La compensation écologique n’est pas une compensation financière, il s’agit d’une action proprement dite. Elle peut prendre plusieurs aspects. Il peut s’agir de travaux de conservation ou de restauration d’un milieu naturel ou d’un habitat d’une espèce déterminée, de reboisement, ou de création de nouveaux espaces verts. Généralement, il s’agit d’une action matérielle. Mais il est également possible d’effectuer des travaux immatériels tels que la sensibilisation de la population locale au respect de l’environnement. Le but étant simplement de rétablir une situation normale de l’environnement antérieurement au projet, sinon de créer de meilleures conditions écologiques.

Une action qui tend à s’affirmer

Si autrefois la compensation écologique relevait de la seule volonté des entreprises, aujourd’hui, elle devient une obligation. Depuis l’adoption de la loi sur la protection de la nature en 1976, des sanctions sont prescrites dans la mesure où les entreprises ne respectent pas cette mesure. Au départ, l’application de cette loi était sujette à controverse et ne trouvait pas de réel effectivité, sinon les mesures de compensation écologiques n’était pas conséquentes par rapport aux dégâts causées à l’environnement. Pour faire face à cette situation, le gouvernement a du effectuer une sensibilisation au sein même des réalisateurs de projet et prendre des mesures plus drastiques en ce qui concerne les sanctions infligés à ceux qui ne respectent pas la règlementation. Aujourd’hui, cette action tend à se renforcer, dans la réalisation de leur projet, les entreprises ont l’obligation de recréer un milieu naturel propice à un développement durable.
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Rouler en deux roues : les avantages écologique

La moto électrique vous séduit de plus en plus. Choisissez des modèles sur purerider pour rouler écolo même en deux roues. Il existe de nombreux moyens de transport qui n’utilisent que deux roues. Toutefois, la moto électrique est celle qui est la plus en vogue. Ses avantages écologiques et son côté pratique sont appréciés.

La moto électrique est moins polluante que les autres moyens de transports classiques (voitures thermiques, avions, etc.), car elle n’émet aucun CO2, ni même de particules fines. Ces deux éléments sont la base de la pollution planétaire.

De plus, rouler en deux roues respecte les préceptes écoresponsables. Ces derniers visent un usage limité des ressources énergétiques primaires. Ainsi, une personne qui roule en moto électrique dans son quotidien participe activement à la protection de mère Nature.

Les deux roues sont connues pour être silencieuses. Leur utilisation est donc en adéquation avec les politiques et les réglementations sur la baisse de la pollution sonore, surtout en ville.

Adopter les gestes pour rouler plus écolo en deux-roues

Rouler en deux-roues est déjà un geste écoresponsable en soi. Mais il est encore possible de pousser à l’extrême votre engagement en faveur de la Nature. Adoptez les bons gestes au quotidien. Ceux cités par la suite valent surtout pour les motos/scooters électriques :

• Chargez votre moto électrique durant les heures creuses : selon les distributeurs d’énergie, les motards qui chargent leurs motos électriques durant cette catégorie d’heures préservent la production électrique.

• Roulez régulièrement en deux roues : vous pouvez faire n’importe quel trajet avec une moto électrique (aller au travail, rentrer chez vous, faire des courses). Privilégiez la moto électrique sur autres moyens de locomotion.

• Recyclez vos deux-roues lorsqu’ils ne sont plus aptes à rouler.

Les promoteurs immobiliers doivent proposer des constructions écologiques

Afin de respecter l’environnement, les promoteurs immobiliers sont tenus considérer les enjeux écologiques dès la phase d’étude. Les architectes devraient proposer des habitations orientées plein sud. Autrement, la lumière naturelle doit être exploitée au maximum lorsque c’est possible. Puis, il serait préférable d’avoir des maisons parfaitement isolées avec de belles performances énergétiques. Concrètement, il faut dépenser le moins d’énergie possible avec un chauffage écologique.

Profiter des différentes dispositions légales pour alléger les impôts

La France a entrepris une série de disposition fiscale pour inciter les promoteurs immobiliers à proposer des maisons respectueuses de l’environnement. Il y a notamment la loi Duflot qui consiste à proposer un allègement fiscal pour les bâtiments basse consommation ou BBC. La norme RT 2012 reste actuellement en vigueur. Elle est obligatoire pour toutes les constructions immobilières. La loi Pinel complète cette disposition fiscale en proposant une exonération fiscale équivalente à 21% de l’acquisition du bien. Il y a aussi le dispositif Bouvard ou loi LMNP Scellier.

L’autosuffisance énergétique est un objectif à atteindre pour 2020

Concrètement, les promoteurs immobiliers sont tenus proposer des bâtiments peu énergivores. Ils sont même encouragés à construire des bâtiments qui produisent eux-mêmes leur propre électricité. Pour cela, l’investissement sur des panneaux photovoltaïques ou des éoliennes reste inévitable. Dans certains cas, les immeubles produisent plus d’énergie que leurs besoins quotidiens. Ainsi, ils ont la possibilité de vendre ce surplus de production énergétique aux compagnies d’électricité. Pour terminer, ces dernières ont aussi leur rôle à jouer dans le système.

Le cercueil écolo : qu’est-ce que c’est exactement ?

Le code général des collectivités territoriales stipule qu’outre le bois, le cercueil peut être fabriqué avec d’autres matériaux. Ce matériau doit cependant être autorisé par le Conseil Supérieur d’hygiène publique de France et le ministre chargé de la santé. De ce fait, la loi a imposé certaines exigences. Parmi ces exigences, on peut citer par exemple l’étanchéité du cercueil (que ce dernier soit biodégradable ou non). Le cercueil ne doit comporter aucune poignée. Il faut qu’on puisse y voir le nom du défunt inscrit sur une plaque.

Parmi les matériaux ayant reçu un agrément auprès des autorités publiques, l’on peut citer les matériaux papier recyclé Kraft ou des matériaux qui y sont similaires. On peut aussi opter des cercueils faits avec de la cellulose, de la poudre de bois ou des fibres fabriquées à base de papier usagé.
Le fabricant du cercueil devrait démontrer la composition exacte du matériau utilisé, leur poids, mais également leur épaisseur. Il doit ainsi attester la qualité du matériau avec lequel il fabrique un cercueil. Pour être sûr que votre fabricant a bien reçu un agrément auprès des autorités compétentes, il vous appartient de le vérifier avant de passer commande.

Les avantages du cercueil écologique

Le cercueil écologique présente de nombreux avantages. Un cercueil écologique est plus facile à fabriquer qu’un cercueil en bois. En effet, la fabrication se résume, dans son ensemble, au pliage et au collage des différents matériaux du cercueil. Il n’est plus à rappeler que ces matériaux sont 100% recyclables, ce qui en fait toute sa différence et toute sa particularité. Pour le collage, les fabricants utilisent souvent des colles à base d’amidon de maïs et de pomme de terre.

En optant pour le cercueil écologique, vous avez l’avantage d’avoir un cercueil unique, que vous pourrez personnaliser à votre guise. À cet effet, vous pourrez y ajouter des motifs, des dessins et même des inscriptions pour la décoration de la face externe du cercueil.

Le cercueil écolo présente également l’avantage d’être léger, mais solide en même temps. Il pèse dans les 10 kg environ. C’est largement plus léger que le cercueil en bois qui lui pèse 50 kg.

Vient ensuite l’avantage en termes de coûts. Vous l’aurez sans doute compris, le cercueil en carton est plus économique que celui fabriqué en bois. On peut même dire qu’il est 5 fois moins cher que les cercueils traditionnels. Vous pourrez dépenser entre 100 à 600 euros pour un cercueil écolo, contre 800 à 3000 euros pour un cercueil classique. Il faut également noter que le prix du cercueil écolo dépend de plusieurs points notamment de la qualité du carton, de sa dimension.

Bien choisir ses moyens de transport

Au lieu de choisir la voiture et l’avion qui émettent des polluants comme moyen de transport, favorisez la marche à pied, le vélo, le métro ou le train pour faire vos courses et aller au travail. Cela aide beaucoup à réduire la pollution dans l’air.

Changer ses modes d’achat

Au lieu d’acheter tous en magasin, essayez de fabriquer vous-même les choses en utilisant des matériaux bruts. Il s’agit là d’un bon moyen de diminuer la pollution atmosphérique puisque l’emballage, la production de masse et le fret des articles destinés aux consommateurs sont directement responsables des proliférations de gaz industriel.

Faire du recyclage

Recycler et réutiliser les déchets ménagers permet grandement de contribuer à la réduction de la pollution atmosphérique. Effectivement, le recyclage permet de diminuer la quantité de déchets qui arrivent dans les décharges et qui sont de grands facteurs de pollution.

Préserver l’énergie

En diminuant l’usage de l’électroménager et des éclairages à la maison, vous réduirez beaucoup la pollution de l’air, car l’électricité qui fait marcher ces appareils est produite par des centres nucléaires qui représentent un grand danger pour l’environnement. Pour économiser de l’énergie quotidiennement, vous pouvez aussi favoriser l’utilisation de la lumière naturelle, débrancher les appareils lorsque vous ne les utilisez pas, acheter votre électricité chez un producteur totalement écologique, diminuer l’usage de climatisation et de chauffage, réduire vos temps de douches, etc.

S’impliquer dans la protection de l’environnement

Vivre de manière écologique c’est s’impliquer directement dans la protection de l’environnement. Pour cela, vous pouvez apprendre à vos enfants la manière de préserver la planète et partager avec vos proches vos connaissances en la matière. Vous pouvez également inciter les internautes via les réseaux sociaux à lutter contre la pollution. En même temps, vous pouvez participer à des séances de plantation d’arbres et joindre un organisme qui participe à la lutte contre la pollution atmosphérique.

Leur apprendre à cultiver et à observer

Pour commencer l’apprentissage d’un enfant à l’appréciation de la nature et a être écolo, il faut l’initier à la culture. Invitez-le autant que possible, mais sans le forcer, à planter. Dès l’âge de 4 ans, on peut l’initier à la pratique du jardinage ou à prendre soins d’une plante sur un coin du balcon. Vous pouvez même l’inviter à prendre soin d’une plante en particulier pour qu’il puisse la voir grandir. Il faut aussi, lui expliquer petit à petit le rôle des graines dans la culture, ainsi que la fragilité d’une jeune pousse, mais également, la plante qui va grandir progressivement. Pour commencer, apprenez-lui à cultiver une plante qui pousse assez rapidement et qu’il verra grandir, tout en produisant un fruit ou une fleur qu’il pourra apprécier ou consommer. Le plaisir visuel et gustatif sera une véritable source de motivation qui le fera aimer la nature et l’esprit bio. Ensuite, durant cette phase, n’oubliez pas de lui apprendre les bases comme, comment arroser et utiliser des éléments naturels pour prendre soin de la plante. À partir de 8 ans, laissez-lui le choix de la plante qu’il va cultiver et commencez à expliquer le rôle de la lumière, de l’emplacement ou du type de sol approprié pour chaque plante. Pour ce qui est de la phase d’observation, il s’agira de l’emmener se fondre avec la nature. Commencez par le parc en lui faisant apprécier la verdure, les arbres et les animaux. Mais quand il sera apte à aller en randonnée, ne l’en priver pas. Et pour qu’il puisse bien observer, équipez-le. Il pourrait voir les animaux et leur beauté avec des paires de jumelles, avoir une petite loupe d’enfant pour explorer la vie des petits insectes, ou même disposer d’un kit de moulage pour mouler et reconnaitre les traces de pas des animaux.

Le jeu, la lecture et les applications

Les enfants vont aussi apprendre à aimer l’environnement si vous les imprégnez de la nature, avec leurs éléments. Comme élément, les enfants aiment jouer. On peut donc, les inciter à connaitre leur entourage naturel en faisant par exemple, un jeu de tri sélectif. On peut aussi les amener à jouer avec vous en pleine nature, à cache-cache, ou autre. Vous pouvez aussi les inscrire chez les scouts où les activités en pleine nature sont nombreuses. Ensuite, invitez-les à lire. Il existe plusieurs ouvrages sur la nature et l’environnement sur le marché. N’hésitez pas à y prendre part dans ce cas, et à lire avec eux tout en mimant et en lui faisant imaginer ce qu’il est écrit dans le contenu du livre. Et enfin, n’oubliez pas que certaines applications de tablettes ou de smartphones concourent également à l’imprégnation dans le monde naturel. On peut par exemple, noter l’application Botanica qui permet à l’enfant de jouer dans un monde virtuel, mais qui lui apprend à s’imprégner de la nature et à jouer au héro pour sauver le monde. Il existe également toutes sortes de films animés qui peuvent vous aider, mais accompagnez ces activités virtuelles par des activités réelles.

La technologie verte : qu’est-ce que c’est ?

La révolution verte a pris de l’ampleur durant ces dernières années. Elle a pris une place importante dans notre quotidien même si la notion est encore méconnue de certains. Les technologies vertes permettent de minimiser les effets nocifs des activités humaines sur l’écosystème et la biodiversité. Les technologies vertes concernent surtout le recyclage des déchets, l’utilisation des énergies renouvelables ou encore les traitements des eaux. L’objectif des scientifiques avec cette nouvelle forme de technologie c’est de permettra à l’homme de produire, sans que chaque action ait un effet dévastateur. Parmi les rénovations de cette technologie verte, il y a par exemple les bétons écologiques. Celui-ci ne contient pas d’oxyde d’azote. Cependant, avec le coût des matières premières, son prix revient beaucoup plus cher que les autres types de béton. Il y a également le processus de nettoyage des océans. Le constat est sans appel. Les mers et les océans sont devenus des dépotoirs. Ils sont envahis par une quantité importante de plastiques polluants. Ils sont difficiles à faire disparaître et favorisent la disparition de nombreuses espèces d’animaux marins. Pour faire face au problème, quelques entreprises ont mis en places des processus des traitements de plastique. La mise en place d’un barrage anti plastique est fait également partie des technologies vertes, le projet est encore en cours, mais promet un résultat encourageant. Les technologies vertes concernent différentes factrices comme le bâtiment, le transport, l’économie, l’énergie, les recherches…

Comment reconnaître les technologies vertes ?

Le terme « vert » est devenu de plus en plus en vogue. De nombreuses enseignes l’utilisent pour faire de la publicité afin de faire grimper leur nombre de consommateurs sans faire une action assez crédible pour l’environnement. Pour différencier les « vrais verts » des « faux verts ». La première chose qu’il faut prendre en compte c’est que cette technologie respecte l’environnement. La technologie verte emploie une faible consommation d’énergie. C’est un critère très important surtout dans certains pays où la production d’énergie s’effectue à l’aide des centrales à charbon. La consommation électrique des nouveaux appareils a été réduite pour limiter les gaspillages énergétiques. Les technologies vertes n’utilisent également qu’une infime particule d’éléments toxiques. C’est sans doute la base d’un produit vert. De ce fait, un produit propre ne contient ni de mercure, ni de plomb, ni de baryum, ni de calcium. Ces éléments ne sont pas favorables pour l’écologie et l’environnement.

Comment limiter la production de déchet ?

Quelques points sont à adopter au sein de son foyer, pour réduire la production de déchets. En effet, qui dit réduire les déchets, dit aussi, limiter les impacts des composants polluants sur l’environnement. Premièrement, chaque ménage produit des déchets organiques. Ces derniers ne doivent plus être jetés, mais être recyclés à la maison même. On peut en faire du compost ou du lombricompost à réutiliser pour le jardinage et la culture maraichère. Concernant les sacs, les cabas sont mieux que les contenants en plastique. Ces derniers qui sont jetables, mais peuvent aussi prendre des centaines d’années à se dégrader. Il est également conseillé de boire dans un verre, l’eau du robinet, au lieu d’en acheter dans des bouteilles en plastique. Sinon, optez pour une eau minérale dans une bouteille en verre. Ici aussi, le but c’est de limiter les déchets en plastique et l’exploitation de cette matière toxique. Par ailleurs, si vous faites du shopping, mieux vaut choisir de limiter la fréquence d’achats et de prendre des produits en gros ou en vrac. Cela permet d’éviter l’utilisation de trop d’emballages qui augmentera le volume de vos déchets. On conseille également de ne choisir que les produits qui peuvent être réutilisés et recyclés. Ceux qui sont jetables sont à bannir. Pour ceux que vous avez vraiment envie de jeter, essayez de les réparer ou de les donner au lieu d’en faire des déchets. Cet acte vous évitera de produire des ordures en trop, mais aussi, de réduire la consommation en freinant l’achat d’une autre personne. Par la suite, faites attention à la gestion des produits toxiques et composés d’ingrédients dangereux. Il peut s’agir de la batterie défectueuse de votre smartphone, de piles, de produits cosmétiques, de médicaments, etc. Il est mieux de les donner à des professionnels qui se chargeront de les détruire ou de les recycler. Et enfin, limitez l’utilisation du papier en dématérialisant vos dossiers.

Quelques informations à connaitre sur vos déchets

Dans la bonne gestion des déchets ménagers, on ne peut dire qu’on est responsable si on n’a pas quelques informations de base sur les ordures qu’on produit. Sachez dans ce cas, que pour une famille composée de 4 membres, la production annuelle de déchets est aux environs de 1 500 kg, si elle n’est pas encore éco-responsable. Dans ce cas, les déchets se répartissent comme suit. 1/3 du déchet est généralement, constitué d’ordures biodégradables. Ce sont ceux qu’on appelle aussi, les déchets putrescibles et qui peuvent être recyclés en compost. Ils ne nuisent pas à l’environnement s’ils sont bien triés et traités. Ensuite, on a 1/3 d’emballages qui peuvent être en carton, en métal et autres. Ces derniers peuvent aussi être recyclés. Et enfin, on a les divers dont quelques plastiques, et des composants toxiques. On mettra également, dans ces restes, les déchets spécifiques comme les os, les agrumes ainsi que les ordures à base de farine. Ces derniers ne peuvent pas se dégrader rapidement, et ne sont pas compris dans la liste des déchets biodégradables. Les restes de viande sont également à enlever de la première liste étant donné qu’elles se décomposent très rapidement et peuvent dégager des odeurs nauséabondes, si on ne les recycle pas très vite, en compost par exemple. Si on respecte les gestes éco-responsables cités un peu plus haut, cette répartition de la qualité des déchets restera la même, mais on peut réduire considérablement, la quantité et le volume produit par an.

Quelles sont les menaces de l’équilibre écologique

L’équilibre écologique n’est autre que l’équilibre naturel, au sein d’un écosystème spécifique, entre les êtres vivants et leur environnement, notamment sous l’angle de la chaîne alimentaire. Si, par exemple, le climat est favorable aux forêts, la végétation sera amplement suffisante pour assurer la multiplication des herbivores. À leur tour, les prédateurs carnivores ne manqueront pas de chasses et pourront agrandir leur effectif. Dans le cas contraire, un climat aride entraîne la disparition petit à petit de la végétation, des herbivores et puis des prédateurs. Il en est de même pour les milieux marins et d’eau douce. Plus l’eau est saine et suffisante, plus les espèces aquatiques seront abondantes et les pêcheurs satisfaits. Malheureusement, il n’est pas toujours ainsi et la situation n’a fait que se dégrader au fil des années. Nombreux sont les facteurs qui menacent l’équilibre des écosystèmes et, globalement, de l’écologie. La pollution, de tous les types, est la cause première du déséquilibre écologique : la pollution de l’air entrainant les trous dans la couche d’ozone, le dépôt des particules nocives dans le sol et les eaux nuisant les organismes vivants ; la pollution de l’eau empoisonnant les espèces marines, d’eau douce et tous les prédateurs. L’introduction des espèces étrangères envahissantes dans un milieu autre que leur milieu naturel modifie l’écosystème hôte. L’évolution des habitats et la surexploitation des espaces par l’homme entraînent aussi un grand déséquilibre écologique.

Les solutions pour rétablir l’équilibre écologique

Tout doit partir du niveau individuel pour adopter les pratiques et un mode de vie écologique.
• Limiter la pollution et la surexploitation des ressources naturelles et des énergies fossiles doit être une priorité de premier ordre. L’utilisation des produits chimiques en industrie comme en agriculture est à restreindre, voire à bannir. Il en est ainsi de la tuerie massive et sans distinction des insectes entraînant la disparition des insectes utiles, entre autres les abeilles et bourdons.
• Il convient aussi de punir sévèrement le déboisement et la déforestation, des pratiques destructeurs qui tendent à priver ou chasser les animaux de leur habitat naturel. La rareté des forêts a un impact considérable sur le climat, un effroyable cercle vicieux ! Le déséquilibre écologique qui en résulte est le plus difficile à reconstruire.
• En outre, la réduction de la pollution de l’air aura pour effet de ralentir les changements climatiques et ainsi de rétablir les conditions naturelles des écosystèmes.
• Modérer l’urbanisation empêche la destruction du milieu naturel et permet de sauvegarder les vies sauvages. Car seule la préservation des écosystèmes permet d’atteindre notre fin, il est préférable de maintenir l’équilibre écologique tant que possible.
• La création d’aires protégées dans différentes zones, ou divers écosystèmes est la solution ultime pour recréer les conditions d’un équilibre écologique. Un exemple d’action : la réintégration de prédateurs pour réduire la population des herbivores.